Dominique Rousseau en bref

Ancien journaliste à l’Equipe mais pas que.
Regard citoyen et décryptages.

J’ai eu envie de créer ce blog après avoir constaté que les tenants du foot business provoquaient sur les réseaux sociaux une vigilance active, au delà de la passion partisane.
Il existe tout un réseau d’analyses, de compilation d’informations, de décryptages.
En tant qu’amateur de foot, j’ai eu envie d’être à la fois récepteur et redistributeur.

Le foot business m’intéresse aussi parce qu’il dit beaucoup de l’économie mondiale, des rapports sociaux et de la dépendance des médias.
Au départ, je voulais être journaliste à Rock & Folk (à sa création en 1966, j’avais 18 ans).
Parce que la musique (rock, rap, funk, groove, blues, jazz, classique) est une des mes autres passions. Dans mes neuf vies, il y en a une où je suis disc jockey.

Après avoir écrit quelques papiers pour le Matin de Paris et le Nouvel Obs, je suis devenu journaliste à l’Equipe. En me disant que j’y resterais quelques années avant d’aller dans un quotidien ou un magazine généraliste.

Et je suis resté 30 ans à l’Equipe et l’Equipe Magazine. Parce que le sport et le foot permettent d’aborder tout ce qui fait la société. J’ai donc traité du sport, de la finance, du politique, du juridique, du culturel avec entre autres Jean Claude Izzo, Pierre Arditi, Manu Chao et IAM. Aussi du fait divers, comme au Heysel.

Cela fait une quinzaine d’années que je fréquente les forums sur internet, ceux sur l’OM et les Cahiers du foot.
En tant que journaliste, j’ai estimé qu’il fallait aller au contact de ceux qui vous lisent. Ou pas. J’ai discuté, argumenté, ferraillé et avec le recul parfois sans assez réfléchir.
Mais partout, j’ai été bien reçu. Cela a été certes parfois viril, mais correct.

Je suis devenu passionné de l’OM lorsque j’ai eu envie d’aller voir à Marseille ce qu’allait donner la rencontre de la ville avec Bernard Tapie en 1986.
Je me suis très vite senti bien à Marseille. C’est plus tard, dans les recherches généalogiques faites par mon père, que j’ai trouvé le fil lointain qui m’y attachait. Deux ancêtres, l’un arrivé de Corse à Marseille en 1794, où en tant qu’administrateur de la Corse nommé par la Convention, il organisait l’accueil des réfugiés devant l’invasion de l’île par les Anglais.
L’autre, son fils, né un an plus tard tout près du Vieux Port, rue de Beausset. C’est à eux que je dois cet attachement.

Dans ce blog, j’ai eu envie de me servir de mon expérience de journaliste afin de  proposer infos  analyse, synthèses et décryptages. Afin de continuer à échanger dans une démarche citoyenne.